Affaire empoisonnement de Samba David: L’adminsitarion pénitentiaire dément

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Le directeur de l’administration pénitentiaire et par intérim le directeur des services juridiciaires et des ressources humaines, Boni Konan a pondu un communiqué sur l’affaire Samba David.
L’adminsitartion pénitentiaire dans un communiqué vient de faire des précisions sur les informations qui circulent depuis quelques jours sur les réseaux sociaux et dans la presse en ligne quant à l’affaire portant sur l’empoisennement Douyou Nicaise alias Samba David.
En effet, selon le communiqué signé par le directeur de l’administration pénitentiaire et par intérim le directeur des services juridiciaires et des ressources humaines, Boni Konan, les affirmations à l’endroit de Samba David inculpé et placé sous mandat de dépôt le 16 décembre 2015 par le juge d’instruction du 4ème cabinet du tribunal de première instance d’Abidjan sont dénuées de tout fondement.
Toujours selon notre source, les medecins qui l’ont regulièrement consulté pendant sa détention ont diagnostiqué une hypertension artérielle chronique. Aussi, rapporte le communiqué, lors de son transfèrement , pour des raisons de sécurité, de la Maison d’Arrêt et de correction d’Abidjan (Maca) pour des raisons de santé, il a été admis au à l’institut de cardiologie du CHU d’Abidjan, au regard des pathologies décrites par les medecins consultants et non dans un service de gastro-entérologie ou tout autre service, aux fins d’extraire de son corps un quelconque poison ingurgité. A en croire la note d’information, Samba Davi était au service de cardiologie lorsque son avocat a introduit une demande de mise en liberté provisoire régulièrement signifiée le mardi 24 juillet 2018, et sa sortie de l’hôpital dès le lendemain, merdcredi 25 juillet 2018, son état n’étant pas jugé préoccupant, sur le paln clinique, par le cardiologue.
En effet, rapporte-t-on, celui-ci a noté, « un bon état général , bruit du coeur bien perçus, réguliers sans bruits surajoutés, poumons libres » et a indiqué qu’ « il est absolument nécessaire de respecter les prises médicamenteuses et le suivi en consultaion ». Ainsi, relativement à son alimentation à Korhogo, précise le communiqué, il convient de rappeler que deux dames en étéinet chargées. Notamment sa concubine Diabaté Maténé et en l’absence de cette dernière la fonctionnaire de police Seri Willy en poste à la police judiciaire de Korhogo ; qui s’était engagée par écrit à cette fin.
C’est pourquoi, l’administration tient à rappeler que les maisons d’arrêts destinées à recevoir les individus ayant enfreint la loi pénale ne sont pas des lieux d’empoisement . Bien au contraire, précise-t-on, de nombreuses personnes s’y échinent au quotidien pour assurer des conditions de séjour acceptables aux pensionnaires. Elle ne saurait en conséquence tolérer davantage des récurrentes rumeurs tendant à jeter le discrédit sur ses animateurs et au-délà, sur l’institutin judiciaire dans son ensemble.
Fatou Sylla

lebanco.net


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